Tous les avis concernant Tous les plats - Le Grill des amiS, Namur (Belgique)
Découvrez tous les avis des membres de la communauté Rankeat concernant le plat : Tous les plats mangé au restaurant : Le Grill des amiS à Namur, Belgique.
Photos du plat
Notes et avis du plat
Présentation1/5 
Goût1/5 
Prix 1/5 
Quantité 1/5 
Note générale 1/5
(1 avis)
Coordonnées du restaurant
Rue Saint-Joseph 10, 5000 Namur, Belgique
Heures d'ouverture
lundi: 12:00 – 14:30, 18:00 – 21:30
mardi: Fermé
mercredi: Fermé
jeudi: 12:00 – 14:30, 18:00 – 21:30
vendredi: 12:00 – 14:30, 18:00 – 21:30
samedi: 11:30 – 14:30, 18:00 – 22:00
dimanche: Fermé
Tous les avis
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« Chroniques d’un carnage gastronomique : quand l’entrecôte devient un
Mes chers amis des fourneaux et des fourchettes, laissez-moi vous conter l’odyssée culinaire la plus digeste de ma vie — ou plutôt, la moins digeste, puisque même un estomac en acier aurait rendu les armes face à ce qui m’a été servi dans ce temple de l’arnaque sur nappe blanche.
Imaginez la scène : un restaurant qui se la joue bistrot chic, où les prix flirtent avec le PIB du Luxembourg, et où l’on vous promet une entrecôte à 40€, tendre comme un murmure d’amoureux. Sauf que ce soir-là, ce n’était pas une entrecôte, mais une expérience de mastication extrême, un défi lancé à vos mâchoires par un boucher sadique. Un morceau de viande si gorgé de fils blancs et de gras caoutchouteux qu’on aurait cru à une collaboration secrète entre un élastique et un vieux pneu. « Il n’y a pas de nerfs dans l’entrecôte, monsieur ! », s’esclaffe le serveur, hilare, comme s’il venait de débiter la blague du siècle devant une salle de clients payants transformés en public captif d’un one-man-show raté. Cher ami, quand le collagène a la texture d’un lacet de chaussure et le goût d’un préservatif recyclé, on appelle ça une escroquerie en sauce, pas une spécialité du chef.
Mais notre saltimbanque en tablier ne s’arrête pas là. Après avoir exhibé mon assiette comme preuve de son crime contre l’humanité (et la digestion), il disparaît avec, pour revenir triomphant, un plateau de viandes à la main, tel un magicien sortant des lapins de son chapeau — sauf que les lapins, ici, étaient des morceaux de bœuf promus témoins à charge. « Regardez, monsieur, pas de nerf ! », clame-t-il, brandissant ses lambeaux de viande comme un trophée, sous les rires complices d’une salle qui, visiblement, avait payé son droit d’entrée pour assister à mon humiliation publique. Bravo, l’artiste : non content de m’avoir servi un chewing-gum à mâcher pendant trois plats, vous avez aussi transformé la salle à manger en tribunal populaire. L’AFSCA serait ravie d’apprendre que vos entrecôtes font le tour des tables avant de retourner au frigo — une belle démonstration d’hygiène à la carte, où la chaîne du froid est remplacée par la chaîne du ridicule.
Cerise sur le gâteau (que nous n’avons jamais reçu, soit dit en passant) : 500€. Oui, vous avez bien lu. Cinq cents euros pour un festival d’erreurs qui aurait fait rougir un stagiaire de cantine. Les cuissons ? À côté de la plaque, comme le reste. Les sauces ? Inversées, comme si le chef avait confondu sa brigade avec un jeu de chaises musicales. Les frites ? Commandées quatre fois, arrivées zero fois — peut-être parties en fumée avec notre patience. Le vin ? Disparu dans les limbes, comme notre envie de revenir. Et le comportement du serveur ? Un mélange de mégalomanie et d’incompétence crasse, assaisonné d’une pointe d’agressivité qui aurait fait pâlir un videur de boîte de nuit.
En résumé : on a payé un repas de roi, on a eu un numéro de cirque. Un cirque où les clowns sont en colère, où les assiettées sont des pièges à mâchoires, et où le service est aussi bien huilé qu’une porte de prison. Alors chers propriétaires, si jamais vous lisez ces lignes, sachez que votre établissement a un talent insoupçonné : transformer une soirée en cauchemar éveillé, et des clients en critiques gastronomiques malgré eux. La prochaine fois, envoyez donc un SMS à vos fournisseurs : « Besoin de viande comestible, et d’un serveur qui sache compter jusqu’à ‘désolé’ ».
Présentation 1/5 
Goût 1/5 
Prix 1/5 
Quantité 1/5 
Meilleur plat du restaurant
1.00 / 5
1 avis
Tous les plats
Meilleurs plats de Namur, Belgique
bergeroli • 1 avis
vendredi 5 décembre 2025
Déception complète
Américain sans saveur à un prixprohibitif
jdlardinois • 1 avis
mardi 2 décembre 2025
« Chroniques d’un carnage gastronomique : quand l’entrecôte devient un
Mes chers amis des fourneaux et des fourchettes, laissez-moi vous conter l’odyssée culinaire la plus digeste de ma vie — ou plutôt, la moins digeste, puisque même un estomac en acier aurait rendu les armes face à ce qui m’a été servi dans ce temple de l’arnaque sur nappe blanche.
Imaginez la scène : un restaurant qui se la joue bistrot chic, où les prix flirtent avec le PIB du Luxembourg, et où l’on vous promet une entrecôte à 40€, tendre comme un murmure d’amoureux. Sauf que ce soir-là, ce n’était pas une entrecôte, mais une expérience de mastication extrême, un défi lancé à vos mâchoires par un boucher sadique. Un morceau de viande si gorgé de fils blancs et de gras caoutchouteux qu’on aurait cru à une collaboration secrète entre un élastique et un vieux pneu. « Il n’y a pas de nerfs dans l’entrecôte, monsieur ! », s’esclaffe le serveur, hilare, comme s’il venait de débiter la blague du siècle devant une salle de clients payants transformés en public captif d’un one-man-show raté. Cher ami, quand le collagène a la texture d’un lacet de chaussure et le goût d’un préservatif recyclé, on appelle ça une escroquerie en sauce, pas une spécialité du chef.
Mais notre saltimbanque en tablier ne s’arrête pas là. Après avoir exhibé mon assiette comme preuve de son crime contre l’humanité (et la digestion), il disparaît avec, pour revenir triomphant, un plateau de viandes à la main, tel un magicien sortant des lapins de son chapeau — sauf que les lapins, ici, étaient des morceaux de bœuf promus témoins à charge. « Regardez, monsieur, pas de nerf ! », clame-t-il, brandissant ses lambeaux de viande comme un trophée, sous les rires complices d’une salle qui, visiblement, avait payé son droit d’entrée pour assister à mon humiliation publique. Bravo, l’artiste : non content de m’avoir servi un chewing-gum à mâcher pendant trois plats, vous avez aussi transformé la salle à manger en tribunal populaire. L’AFSCA serait ravie d’apprendre que vos entrecôtes font le tour des tables avant de retourner au frigo — une belle démonstration d’hygiène à la carte, où la chaîne du froid est remplacée par la chaîne du ridicule.
Cerise sur le gâteau (que nous n’avons jamais reçu, soit dit en passant) : 500€. Oui, vous avez bien lu. Cinq cents euros pour un festival d’erreurs qui aurait fait rougir un stagiaire de cantine. Les cuissons ? À côté de la plaque, comme le reste. Les sauces ? Inversées, comme si le chef avait confondu sa brigade avec un jeu de chaises musicales. Les frites ? Commandées quatre fois, arrivées zero fois — peut-être parties en fumée avec notre patience. Le vin ? Disparu dans les limbes, comme notre envie de revenir. Et le comportement du serveur ? Un mélange de mégalomanie et d’incompétence crasse, assaisonné d’une pointe d’agressivité qui aurait fait pâlir un videur de boîte de nuit.
En résumé : on a payé un repas de roi, on a eu un numéro de cirque. Un cirque où les clowns sont en colère, où les assiettées sont des pièges à mâchoires, et où le service est aussi bien huilé qu’une porte de prison. Alors chers propriétaires, si jamais vous lisez ces lignes, sachez que votre établissement a un talent insoupçonné : transformer une soirée en cauchemar éveillé, et des clients en critiques gastronomiques malgré eux. La prochaine fois, envoyez donc un SMS à vos fournisseurs : « Besoin de viande comestible, et d’un serveur qui sache compter jusqu’à ‘désolé’ ».












jdlardinois • 1 avis
mardi 2 décembre 2025