Brasserie de l’Hôtel de Ville, Clamart

La Brasserie de l'Hôtel de Ville de Clamart contrevient ouvertement et sciamment à la réglementation qui interdit de fumer dans les espaces couverts et fermés : en n'empêchant pas les clients d'y fumer, en mettant à leur disposition des cendriers qui les y incite, en répondant que cet espace est dédié aux fumeurs et en précisant que les écriteaux interdisant d'y fumer devaient être otés mais qu'ils ne l'avaient pas été encore fait par oubli. A noter qu'il s'agit de la terrasse fermée (4 cloisons) et couverte (auvent) qui permet d'accéder à la brasserie. C'est donc un lieu de passage, non équipé de ventilation réglementaire et destiné au service (on y commande et consomme). Cet espace ne peut donc en aucun cas correspondre à un espace fumeur réglementaire. En l'occurrence (dimanche 30 mars 2025, 17h, par une belle journée ensoleillée), un client est venu fumer à coté de mon épouse et moi-même, alors que nous y étions installés alimentant notre bébé de 12 mois (tout en consommant, comme il se doit) à l'abri du vent. Sollicité pourtant aimablement, ce client a refusé cyniquement d'éteindre sa cigarette et le serveur a soutenu qu'il y était autorisé malgré l'écriteau d'interdiction bien visible. Il est regrettable que, non seulement l'établissement ne fasse pas respecter en présence d'un nourrisson la reglementation sanitaire qu'elle affiche elle même, mais surtout qu'il soutienne la démarche éhontée du client incivique. Ne disposant pas des coordonnées de cet établissement, je ne peux lui adresser un message privé. Je m'adresse donc par le présent message à son gestionnaire en rappelant ci-dessous la réglementation en vigueur et dont le non-respect expose son client, son personnel et lui-même à sanction, en plus de la perte de clients dégoutés. L’interdiction de fumer prévue à l’article L.3512-8 du code de la santé publique s’applique dans les lieux fermés et couverts qui accueillent du public ou qui constituent des lieux de travail (art. R.3512-2 du CSP). Elle ne s’applique pas dans les emplacements mis à la disposition des fumeurs (art. R.3512-3 du CSP). Les emplacements mis à la disposition des fumeurs sont des salles closes, affectées à la consommation de tabac et dans lesquelles aucune prestation de service n’est délivrée. Aucune tâche d’entretien et de maintenance ne peut y être exécutée sans que l’air ait été renouvelé, en l’absence de tout occupant, pendant au moins une heure. (art.R.3512-4 du CSP), Il n’existe aucune exception à l’interdiction de fumer dans les terrasses fermées et couvertes. La cour de cassation a clairement défini, dans son arrêt du 13 juin 2013, ce qu’était une terrasse où fumer pouvait ne pas être interdit : « La terrasse d’un établissement accueillant du public ne constitue pas un lieu fermé et couvert où s’impose l’interdiction totale de fumer, dès lors que close des trois côtés, elle n’a ni toit ni auvent, ou bien si, disposant d’un toit ou auvent, elle est intégralement ouverte en façade frontale » Cordialement, Gilles.

Ah, Le BHV… Autrefois un refuge agréable, aujourd’hui une caricature de l’arrogance et de l’avidité. Il fut un temps où j’y venais régulièrement, mais la lente transformation de ce bar en temple du mépris et de l’extorsion m’en a éloigné. Ce soir, le hasard m’a forcé à y remettre les pieds. Erreur. Dès l’entrée, le ton est donné : un serveur au visage de marbre, manifestement excédé par l’idée même de devoir travailler, me lance un regard qui oscille entre l’indifférence et l’hostilité. Un sourire ? Une simple formule de politesse ? Ne rêvez pas. Ici, le client est un intrus, toléré uniquement s’il paie son droit d’entrée à prix d’or. Parlons-en, des prix. Une bière industrielle, vendue à des tarifs défiant toute logique, équivalents à ceux d'une brasserie parisienne haut de gamme et servie avec la générosité d’un mirage dans le désert. À ce prix-là, j’espérais au moins qu’on me la tende avec un minimum de chaleur humaine. Mais non. Pire encore, ce serveur ne se contente pas d’être désagréable : il est ouvertement injurieux. Chaque mot prononcé semble imprégné d’un mépris naturel, chaque demande suscite un soupir exaspéré, et le moindre échange vire à l’agression passive. L’amabilité étant manifestement une option ici, il compense son manque de professionnalisme par un sarcasme constant, ponctué de répliques à la limite de l’insulte. Oser lui adresser la parole, c’est s’exposer à une condescendance qui frôle l’impolitesse pure et simple. Verdict : si vous aimez être traité comme un indésirable tout en payant le double du prix habituel pour la moindre consommation, foncez. Sinon, passez votre chemin. Ce bar n’a plus d’âme, seulement une caisse enregistreuse et un mépris certain pour ceux qui la remplissent. 1 étoile, et encore, c’est bien payé

Restaurant rénové avec un emplacement idéal et une météo presque estivale idéal pour un déjeuner en terrasse ...mais ... Les plats (notamment le confit de canard ) semblent tout juste décongelés... Le service bien que pas désagréable quoique peu souriant est assez long compte tenu de la faible fréquentation du jour . Mais quelle idée de faire une intervention technique en pleine heure de pointe avec un ouvrier utilisant sa disquette à quelques mètres des clients et ce sans aucune protection ... on marche sur la tête !!!

Bon plat du jour de souris d'agneaux. Bonne tarte au pomme. Lasagne également.

Nous sommes toujours bien reçu. Les propriétaires sont au top. Big up à Fabrice agréable, serviable et pro. L'équipe de serveurs est pro. Les assiettes sont bien servies. La terrasse est grande et bien placée. Je recommande.