Vegas Kitchen, Villefontaine

Pas beaucoup de clients pourtant un temps d’attente relativement long Les serveurs et serveuses désagréables et perdus, ils tournent en rond pendant que les clients attendent. Ils ne savent pas où poser les plats.

L'hygiène est déplorable les tables toute collante alors qu'elle vienne d'être nettoyé. J'ai voulu emmener mon filleul qui voulait des frites et ba j'aurai dû aller au mac Donald's. En plus c'est hyper chère pour ce que c'est . . . Très décevant. . .

Un service très compliqué, impossible d’avoir une carafe d’eau, après avoir changé de table aucun effort pour dresser la table surtout sans eau. On a dû redemander plusieurs fois pour avoir un dessert ( qui était chaud à force d’attendre en cuisine alors que s’était des fraises) et de l’eau. Des serveuses qui ne se soucient clairement pas du bien-être des clients. Un restaurant qui a une odeur de graisse chaude et une cuisine ouverte car une porte cassé apporte toute la chaleur. Une accueil déplorable pour un restaurant situé au village de marque. Nous ne ferons aucune publicité pour ce restaurant

Nous avons très bien mangé dans ce restaurant. Petit bémol peut être dû à la taille du restaurant les table relativement étroite. Mais alors le goût et les saveurs rien n’a redire. Au niveau prix l’on ne peut pas dire cher c’est au même prix que la concurrence. Quantité suffisante pour un bon appétit. (Petit bémol peut être le prix des boissons à 4€ mais si vous prenez de l’eau ça passe)

Déception, noté en gros sur leur vitrine poke bowl je m’empresse d’en prendre un, et je vois quelques minis morceaux de saumons et avocat… en soit assiette copieuse mais manque du principal.. La serveuse assez désagréable, nous avons finis depuis un moment le plat, nous finissons même par mettre les assiettes ensemble elle nous regarde mais ne vient pas. Nous avons dû insister pour finir par être enfin débarrassés. Pour le dessert, un café gourmand commandé par Monsieur. En général il y a quand même un bon assortiment, là encore la déception du peu qu’il y a…