Les Pieds dans le Sable, Châtelaillon-Plage

Venu en couple pour une soirée sur Chatelaillon Très cher au vu de la qualité des plats ! 2 cocktails, une planche de charcuterie mixte, une bouteille de rosé et normalement un formule plat dessert à 17,50€ avec moules frites. À la finale, nous cherchons encore les moules car minuscules voire coquilles vides et une addition à 105€ !!! Bref un piège à touriste mais cadre sympathique

De passage pour boire 1 verre. Joli emplacement les pieds dans le sable vue mer. Service au bar uniquement sans prix qui soit pour autant moins élevés qu'un service à table. Prise de commande assez longue alors que l' endroit était vide (moment de placer les coussins sur la terrasse) coussins qui au passage une partie est stockée dans l' espace toilettes... Une karmeliet demandée servie dans un verre Grimbergen et qui au goût n en a pas la saveur

Aucun service à table alors que les serveurs nous ont vus. Prix minimum pour payer en carte bancaire (10€), on commande seulement deux verres aucun geste commercial. Les verres sont en carton, sommes-nous dans un festival ou dans un bar en bord de mer ? Tout commence par un peu d'exigence, vous n'en trouverez pas ici...

Suivi de repas agréable de notre serveuse. Avec quelques loupés .Même si nous devons nous déplacer seul jusqu’à notre table à l arrivée Menu prestige à 30 € convenable. Ne comptez pas sur la quantité de vos assiettes, mais le goût y est. Un joli cadre bien évidemment ,quasiment les pieds dans le sable. 😊

Ah, quel moment inoubliable ! Si vous aimez les expériences dignes d’un sketch mal joué, foncez. Ce restaurant est un véritable chef-d’œuvre… de médiocrité. Allez, petite liste des réjouissances : • Accueil ? Inexistant. Les serveurs pratiquent le slalom entre les tables, probablement dans le cadre d’un entraînement olympique, sans un regard ni un mot pour les clients. • Le cocktail ? Un subtil mélange d’eau et d’ennui, idéal pour ceux qui ont toujours rêvé de boire un goût absent. • La tomate-mozza : une œuvre minimaliste. Deux rondelles de tomate (probablement tranchées à regret) et un fragment de mozzarella égaré. Presque conceptuel. • Les moules ? Un hommage au vide : la moitié du plat était déjà parti, probablement par solidarité avec les frites cramées et la sauce à l’eau tiède. • 25 minutes pour qu’on daigne nous débarrasser, dans une salle pourtant aussi vide que l’intérêt culinaire du lieu. On a failli se demander si on était devenus invisibles. • Les crêpes ? Surgelées, bien sûr. Réchauffées à la commande, mais sûrement pas avec amour. En résumé : une belle arnaque pour touristes affamés et peu regardants. Si vous tenez à votre palais (et à votre dignité), fuyez. Le petit resto d’en face, lui, a au moins compris que « bord de mer » ne veut pas dire « cuisine noyée ». Gardons l’eau salée pour les vagues, pas pour les assiettes. Réponse à la réponse (puisqu’on y est dans le roman) Merci au responsable les pieds dans le sable pour cette tentative de contre-attaque passive-agressive. Dommage que la mauvaise foi soit aussi indigeste que votre cuisine. - “Essayez de dire bonjour” : Nous l’avons fait. Deux fois. À une serveuse qui, visiblement, avait d’autres priorités que répondre à des clients. Peut-être vérifier ses textos ? - “Restaurant vide à 14h45” : Nous sommes arrivées à 13h, pas à l’heure où vous fermez boutique. Merci de ne pas réécrire l’histoire pour tenter de vous dédouaner. - “Vous avez tout mangé” : Non. J’ai enlevé les coquilles vides pour vous montrer l’étendue du désastre. Si vous considérez que des moules déjà ouvertes, vides, salées à mort et noyées dans une soupe tiède sont un plat consommé, c’est inquiétant. - “On ne se vante pas de faire les crêpes maison” : Ah donc vous assumez de servir du surgelé sans le dire. L’honnêteté, enfin ! Mais encore faudrait-il prévenir les clients avant qu’ils ne croquent dans du caoutchouc tiède. - “Vous avez mangé pour 4” : Non plus. Deux menus, un apéro partagé, un service lent comme un dimanche de grève, et l’addition était bien dans la fourchette annoncée. Bref, plutôt que de faire de l’humour de comptoir pour défendre l’indéfendable, commencez par faire ce que tout vrai resto devrait faire : bien accueillir, bien cuisiner et respecter le client. À bon entendeur, et bon courage à ceux qui s’y risqueront.