Trouver le meilleur divers du monde
Nombre de plats : 7
5 / 5Très bon restaurant
De passage en quittant l’aéroport nous y avons manger avant de repartir en France, personnel très accueillant, service rapide, nous nous sommes régalés à un tarif très raisonnable
Hakima • 1 avis
jeudi 30 octobre 2025
Juste fabuleux
Gastronomie turc et kurde traditionnelle . Faite maison .
Grillades au feu de bois .
Soupes succulente.
Services agréable en journée ou le soir .
Le patron est très sympathique , le service est rapide .
Rien à dire , je recommande .
thierry-foubert • 1 avis
samedi 1 novembre 2025
Superbe expérience . SUPER restaurant
Avons été hier soir diner au restaurant Chemin de fer à Laval. Quelle belle surprise, tout était parfait très bien accueilli, le repas délicieux, je dis bien délicieux, gourmand, et vraiment des assiettes bien remplies . Avons beaucoup apprécié la gentillesse de tout le personnel et l'ambiance qui y règne. Je retournerai car nous avons passé un moment fort agréable. Je profite de remercier l'équipe et les cuisiniers sans oublier les serveuses et serveurs qui font leur travail remarquablement bien .
aichouba.becheikh • 1 avis
mercredi 5 novembre 2025
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ La Fantasia
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Une superbe adresse à Bonnevoie !
Tout est fait maison : couscous, grillades, pâtisseries… un vrai régal !
L’accueil est chaleureux, l’ambiance conviviale, et il y a même un parking public juste à côté. Franchement, vous pouvez y aller les yeux fermés, c’est une adresse incontournable à Bonnevoie ! 🌿🍢🍲
violletino • 1 avis
mercredi 6 août 2025
Excellent
Boissons et plats de très bonne qualité, tous les goûts et tous les prix.
Nous y sommes allés à 6 et tout le monde y a trouvé son compte. Accueil et service également très agréable
benjaminhesbert • 1 avis
vendredi 5 décembre 2025
Horreur absolue
Discrimination évidente.
Bonjour, vous souhaitez ?
Et nous de dire 3 cafés svp.
Elle nous dit qu elle ne peut pas nous servir.
Une honte !!
jdlardinois • 1 avis
mardi 2 décembre 2025
« Chroniques d’un carnage gastronomique : quand l’entrecôte devient un
Mes chers amis des fourneaux et des fourchettes, laissez-moi vous conter l’odyssée culinaire la plus digeste de ma vie — ou plutôt, la moins digeste, puisque même un estomac en acier aurait rendu les armes face à ce qui m’a été servi dans ce temple de l’arnaque sur nappe blanche.
Imaginez la scène : un restaurant qui se la joue bistrot chic, où les prix flirtent avec le PIB du Luxembourg, et où l’on vous promet une entrecôte à 40€, tendre comme un murmure d’amoureux. Sauf que ce soir-là, ce n’était pas une entrecôte, mais une expérience de mastication extrême, un défi lancé à vos mâchoires par un boucher sadique. Un morceau de viande si gorgé de fils blancs et de gras caoutchouteux qu’on aurait cru à une collaboration secrète entre un élastique et un vieux pneu. « Il n’y a pas de nerfs dans l’entrecôte, monsieur ! », s’esclaffe le serveur, hilare, comme s’il venait de débiter la blague du siècle devant une salle de clients payants transformés en public captif d’un one-man-show raté. Cher ami, quand le collagène a la texture d’un lacet de chaussure et le goût d’un préservatif recyclé, on appelle ça une escroquerie en sauce, pas une spécialité du chef.
Mais notre saltimbanque en tablier ne s’arrête pas là. Après avoir exhibé mon assiette comme preuve de son crime contre l’humanité (et la digestion), il disparaît avec, pour revenir triomphant, un plateau de viandes à la main, tel un magicien sortant des lapins de son chapeau — sauf que les lapins, ici, étaient des morceaux de bœuf promus témoins à charge. « Regardez, monsieur, pas de nerf ! », clame-t-il, brandissant ses lambeaux de viande comme un trophée, sous les rires complices d’une salle qui, visiblement, avait payé son droit d’entrée pour assister à mon humiliation publique. Bravo, l’artiste : non content de m’avoir servi un chewing-gum à mâcher pendant trois plats, vous avez aussi transformé la salle à manger en tribunal populaire. L’AFSCA serait ravie d’apprendre que vos entrecôtes font le tour des tables avant de retourner au frigo — une belle démonstration d’hygiène à la carte, où la chaîne du froid est remplacée par la chaîne du ridicule.
Cerise sur le gâteau (que nous n’avons jamais reçu, soit dit en passant) : 500€. Oui, vous avez bien lu. Cinq cents euros pour un festival d’erreurs qui aurait fait rougir un stagiaire de cantine. Les cuissons ? À côté de la plaque, comme le reste. Les sauces ? Inversées, comme si le chef avait confondu sa brigade avec un jeu de chaises musicales. Les frites ? Commandées quatre fois, arrivées zero fois — peut-être parties en fumée avec notre patience. Le vin ? Disparu dans les limbes, comme notre envie de revenir. Et le comportement du serveur ? Un mélange de mégalomanie et d’incompétence crasse, assaisonné d’une pointe d’agressivité qui aurait fait pâlir un videur de boîte de nuit.
En résumé : on a payé un repas de roi, on a eu un numéro de cirque. Un cirque où les clowns sont en colère, où les assiettées sont des pièges à mâchoires, et où le service est aussi bien huilé qu’une porte de prison. Alors chers propriétaires, si jamais vous lisez ces lignes, sachez que votre établissement a un talent insoupçonné : transformer une soirée en cauchemar éveillé, et des clients en critiques gastronomiques malgré eux. La prochaine fois, envoyez donc un SMS à vos fournisseurs : « Besoin de viande comestible, et d’un serveur qui sache compter jusqu’à ‘désolé’ ».















u8203979095 • 1 avis
jeudi 20 novembre 2025